Coupe Couture
Il faut sauver les merceries ! |
L’enseigne de Gersaint (détail), Watteau, 1720, Château de Charlottenburg (Berlin). Au 18ème siècle, les «marchands merciers » (comme Gersaint) ont des boutiques d’objets de luxe qu’ils commandent en faisant travailler ensemble sculpteurs, ébénistes, céramistes, orfèvres et bronziers, ou importent et font transformer pour répondre au goût de leur clientèle…Tout cela a bien changé ! Aujourd’hui, les merceries, ces cavernes d’Ali-Baba pour couturières, disparaissent les unes après les autres. Pourtant, quand on fouine dans une vraie mercerie (par opposition aux présentoirs de supermarchés), on découvre souvent de nouveaux accessoires qui facilitent le travail ou permettent de « customiser » les ouvrages. Alors, comment faire ? Une petite entreprise, grossiste en mercerie, a une démarche intéressante. Pour nous, particuliers, la démarche proposée est la suivante : On trouve aussi sur ce site des fiches conseil et des video qui donnent bien envie de faire encore plus de couture ! |
Pêle-mêle
| Publié par sylvie le 15 octobre 2008
Billet d'origine sur http://www.coupecouture.fr |